
Départ de la Vaca Tranquila, faux départ pour la Bolivie. Il faut l’avouer, le moral des Barathon n’était pas à la hauteur habituelle.
Apparemment c’est normal en milieu de parcours !
Toutefois, nous avons réagi, deux jours à Salta où nous retrouvons notre famille de français, très sympas mais pas très reposants parce que les enfants étaient terriblement excités de se voir.

Puis, nous avons loué une voiture direction le Nord cette fois via la vallée d’Humahuaca. C’était exactement ce qu’il nous fallait, nous sommes partis à Tilcara, balades en altitude où les paysages sont d’une beauté stupéfiante.
Parfois nous nous disons que nous allons finir par être blasés, mais non, cette harmonieuse composition de canyons gigantesques et colorés restent impressionnante même après quelques jours.

Notre hôtel, une petite maison en pisé avec un grand terrain, perdue au milieu de rien ! Un havre de paix et de repos, des heures de sommeil pour toute la famille au calme.
En traversant Tilcara, nous avons tout de suite compris que cette petite bourgade allait nous plaire. Jolies maisonnettes, petites rues animées, bons restaurants, artisanat de qualité, tous les ingrédients pour agrémenter notre séjour.
Nous avons enfin mangé autre chose que des empanadas (chaussons à la viande ou au fromage), des salades ou encore du Bœuf !!
Restaurant raffiné à la française, il faut le dire, quelle chance nous avons d’avoir cette gastronomie riche et tellement variée en France.
Puis le lendemain, après un bon petit déjeuner, départ pour Salinas Grandes.
A deux heures de Tilcara, un peu pour nous consoler du Salar d’Uyuni (en Bolivie), nous voici sur le petit Salar argentin sûrement moins impressionnant mais il fait son petit effet tout de même.

Un Salar ou désert de sel, est un lac superficiel dont les sédiments sont essentiellement constitués par des sels (chlorures, sulfates, nitrates, borates, etc). Cette étendue sous forme de croûte dure est d’une épaisseur de 10 à 50 centimètres. On peut rouler en voiture sur sa surface. Elle est d’une blancheur éblouissante, et forme avec le ciel bleu, un paysage d’une beauté saisissante.
Nous avons profité de ce lieu atypique pour réaliser quelques photos originales. Admirez le travail, les postures et les sauts. Surtout
mon saut, car s’il est plutôt réussi, la réception l’est beaucoup moins. En effet, elle nous aura coûtée deux heures aux urgences !
Bon, rassurez-vous, un mauvais coup mais pas de fracture, rien de bien méchant.
Nous aurons, grâce à cela, pu constater que les Urgences argentines sont plutôt bien organisées, presque plus de personnel que de patients !
Petite attente à l’accueil, plus longue pour les radios, puis on repart avec les examens en poche sans dépenser un sous.
C’est à ce moment là que je suis obligée de constater que mon espagnol reste très limité, seule, au milieu de trois médecins, ce fut laborieux pour expliquer que je sautais au milieu des salinas Grandes et que mon atterrissage avait été douloureux !
Je me voyais déjà dans l’avion avec mes béquilles et mon plâtre, sans parler de la prochaine étape en Nouvelle Zélande dans quelques jours.
Tellement contents que tout aille bien, nous nous sommes payés un bon petit restaurant et même une jolie paire de boucles d’oreilles pour moi !
Les Barathon ont rechargé leurs batteries et sont prêts pour la suite de l’aventure
A bientôt
Les Famille Barathon autour du monde
De Tilcara à Salinas Grandes, c’est reparti pour les Barathon !!!
Départ de la Vaca Tranquila, faux départ pour la Bolivie. Il faut l’avouer, le moral des Barathon n’était pas à la hauteur habituelle.
Apparemment c’est normal en milieu de parcours !
Toutefois, nous avons réagi, deux jours à Salta où nous retrouvons notre famille de français, très sympas mais pas très reposants parce que les enfants étaient terriblement excités de se voir.
Puis, nous avons loué une voiture direction le Nord cette fois via la vallée d’Humahuaca. C’était exactement ce qu’il nous fallait, nous sommes partis à Tilcara, balades en altitude où les paysages sont d’une beauté stupéfiante.
Parfois nous nous disons que nous allons finir par être blasés, mais non, cette harmonieuse composition de canyons gigantesques et colorés restent impressionnante même après quelques jours.
Notre hôtel, une petite maison en pisé avec un grand terrain, perdue au milieu de rien ! Un havre de paix et de repos, des heures de sommeil pour toute la famille au calme.
En traversant Tilcara, nous avons tout de suite compris que cette petite bourgade allait nous plaire. Jolies maisonnettes, petites rues animées, bons restaurants, artisanat de qualité, tous les ingrédients pour agrémenter notre séjour.
Nous avons enfin mangé autre chose que des empanadas (chaussons à la viande ou au fromage), des salades ou encore du Bœuf !!
Restaurant raffiné à la française, il faut le dire, quelle chance nous avons d’avoir cette gastronomie riche et tellement variée en France.
Puis le lendemain, après un bon petit déjeuner, départ pour Salinas Grandes.
A deux heures de Tilcara, un peu pour nous consoler du Salar d’Uyuni (en Bolivie), nous voici sur le petit Salar argentin sûrement moins impressionnant mais il fait son petit effet tout de même.
Un Salar ou désert de sel, est un lac superficiel dont les sédiments sont essentiellement constitués par des sels (chlorures, sulfates, nitrates, borates, etc). Cette étendue sous forme de croûte dure est d’une épaisseur de 10 à 50 centimètres. On peut rouler en voiture sur sa surface. Elle est d’une blancheur éblouissante, et forme avec le ciel bleu, un paysage d’une beauté saisissante.
Nous avons profité de ce lieu atypique pour réaliser quelques photos originales. Admirez le travail, les postures et les sauts. Surtout
mon saut, car s’il est plutôt réussi, la réception l’est beaucoup moins. En effet, elle nous aura coûtée deux heures aux urgences !
Bon, rassurez-vous, un mauvais coup mais pas de fracture, rien de bien méchant.
Nous aurons, grâce à cela, pu constater que les Urgences argentines sont plutôt bien organisées, presque plus de personnel que de patients !
Petite attente à l’accueil, plus longue pour les radios, puis on repart avec les examens en poche sans dépenser un sous.
C’est à ce moment là que je suis obligée de constater que mon espagnol reste très limité, seule, au milieu de trois médecins, ce fut laborieux pour expliquer que je sautais au milieu des salinas Grandes et que mon atterrissage avait été douloureux !
Je me voyais déjà dans l’avion avec mes béquilles et mon plâtre, sans parler de la prochaine étape en Nouvelle Zélande dans quelques jours.
Tellement contents que tout aille bien, nous nous sommes payés un bon petit restaurant et même une jolie paire de boucles d’oreilles pour moi !
Les Barathon ont rechargé leurs batteries et sont prêts pour la suite de l’aventure
A bientôt
Les Famille Barathon autour du monde